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 Leladon, Scribe de Morgan De La Veirah

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Leladon
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Leladon


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MessageSujet: Leladon, Scribe de Morgan De La Veirah   Leladon, Scribe de Morgan De La Veirah EmptyLun 11 Juin - 19:02

Je me présente,
Leladon, Scribe de Morgan De La Veirah

Et voici le livre de ma vie...

Dès ma naissance mes parents qui était errant, mon laissé prêt d'un monastère étant donné leur incapacité de m’élever ou de m’entretenir. Un monastère fût l’enceinte de mon enfance et ce sous les soins de Atymu, Abbé dans un petit village non loin de Karamanthyr. Les nombreuses et très ardus leçons acquises avec se maître en calligraphie n’ont pas été vaines. Pour le clergé, j'ai traduit et transcrit de nombreux manuscrits très anciens et poussiéreux, la plume n'a plus aucun secret pour moi.

Après des années d’apprentissage de la bienséance et de la diplomatie, mon maître me donna la chance de prouver ma valeur en m’envoyant pendant 2 printemps chez un seigneur très réputé nommer Tarvius. Celui-ci était un grand serviteur de l’empire, possédant lui-même énormément de pouvoir et de terres. Respecté de tous et adoré des paysans qui habitaient sous sa protection. J’ai du assisté cet homme dans ses fonctions de gestion, j’ai alors participé passivement à plusieurs parlementations bourgeoises très intéressantes. Tarvius dit le Généreux, ma même confier la tâche de rafraîchir, des écritures aillant beaucoup d’âge qui portaient sur l’histoire de sa famille et de ses ancêtres. J’ai par le fait même appris beaucoup de choses sur cet homme qui mérite d’être connu.
Le matin de mon départ, il m’attendait assit sur les marches de sa demeure accompagné de son valet. Les remerciements en quantité plus que nécessaire étaient les bienvenues. Tarvius me remis un sac de cuir plutôt lourd en me disant : << Ceci est à ouvrir seulement à votre retour au monastère >>.
Je repris la route à bord d’une chariote propriété de mon hôte afin de regagner ma place aux côtés de mon maître Atymu.

Le monastère était en vue, qu’il fait bon revoir son chez-soi! J’aperçut mon maître, accompagner d’un autre homme fortement constituer qui portait un petit chapeau cachant son crâne dépourvus de cheveux. Je ne m’attendais guère à autant d’accueil à mon arrivé. Aussitôt sortit de la cabine qui m’avait transporté tout le long du chemin cahoteux un jeune homme cria à toute voix : << Honorons la présence du très respectable Cardinal Hymor >>. Je m’approchais en souriant étant donner l’immense plaisir de voir afin quelqu’un du haut clergé pour qui je me donnais autant de mal toutes ces années. L’homme avait l’air très sérieux et même indifférent à la gaieté que je tentais de partager. Mon maître chuchota quelque chose au Cardinal, c’est à ce moment précis qu’il leva la voix : << Leladon tu n’est pas un mauvais apprenti mais ta main ne nous rapporte pas assez, nous ne pouvons pas nous permettre de garder quelqu’un qui mange sans amener suffisamment de contribution. J’en suis vraiment désoler ce n’est pas une décision qui a été prise avec légèreté mais avec une grande réflexion.
Le gros chauve fit un signe de la tête pour approuver les dire de mon tuteur, sans trop ouvrir la bouche qui pour lui devait être un trop important effort.
Je errais pour la dernière fois dans les lieux de ma petite enfance, pour trouver le peu que composait mes possessions, afin d’en faire un baluchon. Je n’avais qu’une seule idée en tête me rendre à Karamanthyr, terre de foi et où il fait bon de vivre. Me trouver du travail là-bas sera d’une facilité déroutante à voir ce que les gens en racontent.

La route était devant moi et derrière moi cela faisant déjà quelque jours que je me déplaçait à l’aide de mon simple vouloir et de mes jambes, je vis au loin une maison fait de terre et de paille. Je décida alors de me renseigner sur la direction à prendre, me voilà alors devant un homme pas très grand. Il me sourit avec ce qu’il lui restait comme dentition et se tenait bien appuyé sur sa pelle. Je lui demanda dans des mots simples si j’était très près de Karamanthyr et si je pouvais avoir un peu d’eau pour éteindre ma soif qui grandissait. Le paysan m’affirma que j’étais encore à un jour de marche et pour l’eau il appela un de ses rejetons pour aller en chercher dans le petit puits en vu. Pour ensuite, me faire tendre une tasse de bois d’un brun très prononcer qui contenait un liquide avec une odeur très forte et qui ressemblait drôlement à de la bouette. C’est à ce moment que j’ai cesser d’avoir soif soudainement, en remerciement l’homme sans en boire une seule goutte et me remis à marcher sur le sentier terreux.

Enfin rendu a destination, j’entendis par les uns et les autres d’un homme avec un goût vestimentaire qui laissait à désirer mais avec un cœur aussi grand et puissant qu’une horde d’Orogs en colère. Plusieurs personnes parlaient en bien et en mal de cet étrange personnage appeler Morgan, l’homme qui devenait faible en présence de femmes. J’écoutais tout les ragots en aillant de plus en plus envie de faire connaissance avec cet individu. Certain allait même jusqu’à dire qu’il avait affronté un homme-loup seul et avec comme seule arme une épée mal en point. Tout ce mystère commençait à aller taquiner ma curiosité.


Le lendemain, je décida d’aller au marché pour me quérir quelque chose à me mettre sous la dent. Un homme vêtit d’un tabard d’une couleur mauve criait à qui voulait l’entendre que Morgan De La Veirah était au service du peuple et répétait sans cesse que les hommes intéressés à défendre les contrés et ceux qui les habites, hausse la voix et ce présente. Plusieurs ne se firent pas prié, les voix se succédaient et s’entrecroisaient. J’attendit que tout ce tapage ce termine pour m’approcher de l’homme responsable de tout ce bordel. Je lui fit part de mes intentions de rencontrer ce De La Veirah, afin de pouvoir peut-être lui offrir mes services. Je pris alors place dans le groupe qui suivait l’homme portant fièrement les couleurs de ce Morgan, après seulement une heure de marche nous voilà devant un bâtiment tout ce qu’il y a de plus normal. Un homme apparu à la fenêtre de l’étage supérieur, avec un accent très prononcer invita ceux qui voulais ce porter volontaire comme milicien du rang ce diriger vers la gauche et à ce présenter au nommer Finrod. Voyant que je ne bougeais pas et que j’était le seul restant devant la porte, il questionna le crieur à mes côté qui lui répondit que je voulais avoir un entretien avec lui. Le perché m’invita de la main à entrer, je pénétra alors à l’intérieur dévisagé par deux gardes bien décidé à me montrer que je devais rester tranquille. Les marches était très inclinés et je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Arrivé à l’étage une homme quelque peu efféminé m’y attendait debout : << Ye swuis Morgan De La Veirah…et vous êtes??>>
Sans me laisser le temps de placer un mot me lanca déjà une autre question :
<< Quesse que vous transportey dans ce sac de cuirre ?? >>

Et c'est à ce moment que toute une histoire commença...
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Leladon, Scribe de Morgan De La Veirah
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