Une belle soirée d’automne, la taverne le Tonneau D’or était presque à son apogée.
Les pecnots s’entassaient presque les uns par dessus les autres, la boisson coulait à flot et je n’était pas de ceux qui refusait une ou deux chope! Même qu’avec mes quelques comparses fraîchement sorties de l’école militaire, nous avions commencer très tôt avant que le soleil aille se cacher…
Une jolie demoiselle m’avais enlevé à ceux-ci depuis déjà un bon moment et je ne m’en plaignais guère. Étant donné ma bourse complètement desséché et mon envie toujours présente de consommer. Elle me finançait grassement tout en me répétant que j’allais devoir me donner à elle, ce qui à mon avis était loin d’être un problème mais plutôt une dette dont je serais ravis de payer! Sa beauté était presque invraisemblable, si on tient compte de la quantité de liquide ingurgité bien sur….
Un grand bruit retentit dans mes oreilles et me fit sursauter!
Je relève la tête d’un coup, elle me tenu à peu près ce langage ci : « Qu’est-ce que vous me faisions là, dormir en pleine conversation! S’étions pas poli! »
Pour lui démontrer que j’étais désolé, j’afficha alors un de mes sourires plein de vigueur mais dans l’état avancé que je me trouvais le résultat ce devait d’être sûrement médiocre. Elle me le rendit quand même à mon plus grand plaisir, c’est à ce moment précis que je commença à avoir mal au ventre ainsi qu’à avoir la tête qui tourne dans tout les sens. Sa voix changea soudain de douce et mielleuse à roque et saccadée.
Une dague était dans ses mains et je devina assez rapidement que ce n’était pas par hasard. Je me sentis très menacé mais la seule et unique réaction que je réussis à obtenir de mon corps c’est d’éclater de rire. Sa main fit un mouvement brusque et transperça sans trop de difficulté sa poitrine bien abondante. Étendu de tout son long et moi je…
je…..
Une voix, j’entendis une voix qui me parlais mais impossible de comprendre un traître mot…
Une ombre de femme se jonchait au dessus de moi et puis plus rien….
Un froid hivernal me traversa le crâne, normal j’avais un bandage humide sur le front… J’était en sous vêtements, aliter dans une petite chambre à l’étage. La porte s’ouvrit et un homme de faible stature si tenait habiller d’une chemise frivole. Je lui demanda aussitôt où était la gente dame que je me devait de couvrir de reconnaissances. L’homme avait l’air contrarié et ce juste à sa façon de me dévisagé.
Un malheur est arriver à cette gentille personne?
Le personnage se tenant debout commença à marmonner et fini par me dire que nul n’était entré ici à part lui-même. Mes excuses les plus sincères, je lui adressa alors, et puis mes remerciements suivirent. Il se présenta à moi comme étant Morgan De La Veirah. Dès que je puis unir toute mes forces pour me lever de ma couchette, je m’exécuta et laissa tombé un genou sur le sol devant l’homme.
Morgan De La Veirah, je vous dois la vie et tout ce qu’elle va m’apporter, donc en ce jour je fais la promesse solennelle de vous suivre et de vous rendre le cadeau que vous m’avez offert!
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